VENDREDI 29 AVRIL 2016,

Déménagement express de Paris.

Je me casse la gueule avec le premier carton, vautré sur le trottoir.

Ca commence bien !

Ce n'est malheureusement qu'un début...

C'est incroyable les merdes qu'on peut entasser en treize ans dans une ville qui bazarde tout dans la rue (quand on passe avant les Roumaniens*...).

* Désigne tout peuple qui vient d'Europe de l'est : Roms, Bohémiens, Yougos...

  (Terme emprunté à un buraliste chinois).

PLUS D'ADRESSE A PARIS.

IL M’ATTENDAIT !

Quand j'était tout gosse,

à l'école, on m'appelait

Roland Magdane.

Et ben, il s'en souvient.

Il voulait être là pour mon retour.

Les derniers pavés de Paris EN BOIS.

Dans une cours, 47 rue Oberkampf.

A 200 mêtres de mes fenêtres, l'immeuble où habitaient l'Inspecteur Jules Maigret et Madame, au 132 boulevard Richard Lenoir.

Ici se dressait la dernière cabine téléphonique que j'ai utilisée. C'était pour joindre mon pote Laroche monté sur Paris.

Mais, le jeudi 16 avril 2015, Emmanuel Macron a décidé de toutes les supprimer.

C'est pas pour ça que j'achèterais un portable !

NDMR : Moins drôle et surtout beaucoup plus grave : elle se trouvait juste

à côté du premier café mitraillé le 13 novembre 2015 ("A la Bonne Bière").

ET UN ARTICLE INTERESSANT   

Métamorphoses du XIème (2008).

Et les Auvergnats !

Sans oublier le dernier "bougnat" parisien (de charbougnat),

petit bistrot rue Emile Lepeu.

C'était une famille de Cantalous,

pas d'Aveyronnais.

Notez l'enseigne :

"CHARBONS CAFE MAZOUT".

Le gendre de la patronne a arrêté les livraisons de charbon, toujours avec le SAVIEM, vers 2005.

C'est logiquement devenu un bar de bogaux qui ont même osé changer le nom !